Suite à l’atelier Corps Territoire de jeudi à La Halte à Liège (infos ici), j’ai envie de vous proposer une des consignes d’écriture.

La vue est un des sens que nous utilisons le plus pour entrer en contact avec le monde, et parfois les autres sens ouïe, goût, odorat et toucher, selon la sensibilité de chacun, peuvent être désinvestis au quotidien.

La proposition suivante est donc une invitation à se mettre à l’écoute de notre part sensible et de porter son attention sur un seul sens pour savourer ce qu’il y a de singulier dans ce rapport au monde.

Inspiré des inventaires sensibles des Notes de Chevet de Sei Shonagon (Japon-XIe siècle après J.C.) où se déploient les saisons, les montagnes, les insectes, la nature, l’eau, les plus menus détails de la vie quotidienne, les sensations les plus infimes, les tissus, les choses qui font battre le coeur, etc… voici une proposition d’écriture pour se reconnecter à ce que l’on touche et à ce qui nous touche.

Écrivez l’inventaire (pas réduit à une liste mais empreint de souvenirs et d’anecdotes) des choses qui gagnent à être touchées.

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